A la veille de Thanksgiving, l’une des “Holidays” les plus célébrées par les Américains, le quotidien new-yorkais a choisit de mettre en une un long reportage sur le cancer du sein en Isarël et surtout la photo à moitié dénudée d’une jeune femme portant une cicatrice sur la poitrine au dessous d’un tatouage de l’étoile de David.
Il est assez que le New York Times publie de larges photos couleurs en une, et encore moins celle d’une poitrine de femme.
L’article, disponible dans une version internet intéractive, révèle qu’Isarël possède parmi les taux les plus élevés de cancer du sein chez les femmes mais aussi les moins mortels, grâce à un système de dépistage précoce.
Marie Rousseau 